Journal d'un guide perdu dans la nuit où rien ne luit
Parce que j’avais un mal de chien définitif à m’endormir. Parce que je renonçai à m’enfoncer lascivement dans les limbes fadasses d’un sommeil réparateur. Parce que je décidai de sortir de mon lit moite et inhospitalier. Parce que je me rhabillai et enfilait...